Ce graphique en camembert illustre la répartition des recettes d’un budget, en distinguant les ressources de fonctionnement et celles d’investissement. Analyse détaillée : Recettes principales (fonctionnement) : * Autres ressources fiscales et fiscalité directe : 155,1 M€ → c’est la source principale de recettes, représentant la part la plus importante. * Fraction de TVA : 117,4 M€ → deuxième source majeure. * Dotations et compensations : 86,9 M€ → également un apport significatif. * Recettes sectorielles : 69,5 M€. * Péréquation interdépartementale : 23 M€. * Reprise sur provision : 12,8 M€. Recettes d’investissement (plus marginales) : * Ressources sectorielles : 6,1 M€. * FCTVA : 5,6 M€. * Opérations financières : 5,1 M€. Lecture globale : 1. Les recettes de fonctionnement dominent très largement, en particulier les ressources fiscales (155,1 M€) et la fraction de TVA (117,4 M€). 2. Les dotations de l’État (86,9 M€) et la péréquation interdépartementale (23 M€) complètent ce socle. 3. Les recettes d’investissement sont très limitées (environ 17 M€ au total), ce qui montre une forte dépendance aux recettes courantes. En résumé : * Le financement repose principalement sur la fiscalité locale et nationale (TVA, impôts directs). * Les apports de l’État (dotations, compensations, péréquation) viennent en appui. * L’investissement n’est pas directement couvert par des recettes propres importantes, mais par des apports secondaires comme le FCTVA et les opérations financières.