Voici la transcription écrite du graphique sur l'évolution de la capacité d'autofinancement de 2016 à 2019, rendue accessible : Le graphique présente l'évolution de la capacité d'autofinancement sur une période de quatre ans, de 2016 à 2019. Il utilise deux échelles verticales : celle de gauche, allant de 0 à 60 000 par incréments de 10 000, pour l'autofinancement brut et net de l'exercice, et celle de droite, allant de 0,00% à 16,00% par incréments de 2,00%, pour les taux d'épargne. En 2016, l'autofinancement brut de l'exercice s'élevait à environ 49 000. L'autofinancement net de l'exercice était d'environ 43 000. Le taux d'épargne brute était d'environ 12,8%, et le taux d'épargne nette était d'environ 11,5%. En 2017, une légère baisse est observée. L'autofinancement brut de l'exercice était d'environ 44 000, tandis que l'autofinancement net de l'exercice était d'environ 40 000. Le taux d'épargne brute a diminué à environ 11,8%, et le taux d'épargne nette était d'environ 10,5%. L'année 2018 marque une nette augmentation. L'autofinancement brut de l'exercice a atteint environ 53 000. L'autofinancement net de l'exercice était d'environ 47 000. Les taux d'épargne ont également augmenté, avec un taux d'épargne brute d'environ 14,3% et un taux d'épargne nette d'environ 12,9%. Enfin, en 2019, la tendance à la hausse se poursuit. L'autofinancement brut de l'exercice a culminé à environ 55 000. L'autofinancement net de l'exercice était d'environ 50 000. Le taux d'épargne brute était d'environ 14,5%, et le taux d'épargne nette était d'environ 13,0%. En résumé, la capacité d'autofinancement, tant brute que nette, a connu une baisse en 2017 avant de reprendre une croissance significative en 2018 et 2019. Les taux d'épargne suivent une évolution similaire.