LES TROUBLES MOTEURS
Apports théoriques
Chaque personne est singulière. Les troubles moteurs diffèrent d’une
personne à l’autre. Les informations données ne sont pas exhaustives
mais vous permettront de repérer et de connaitre les principaux
troubles moteurs, afin d’accompagner au mieux votre proche.
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La maladie d’Alzheimer
Outre les troubles de la mémoire et du comportement bien connus dans
la maladie d’Alzheimer, une perte des réflexes moteurs due à l’atrophie
cérébrale progressive est également présente. On retrouve des troubles
de l’équilibre, une perte du schéma moteur de la marche (petit pas,
perte du balancement des bras…). Les troubles du comportement tels
que l’agitation entraînent notamment de la déambulation au début
de la maladie, et donc une augmentation du risque de chute.
A long terme, cette maladie évolue vers un état grabataire.
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La maladie de Parkinson
C’est la deuxième maladie neurodégénérative après la maladie
d’Alzheimer. Il s’agit d’une maladie neuro-centrale caractérisée
par une destruction des neurones impliqués dans le contrôle des
mouvements. On retrouve les signes cliniques moteurs suivants :
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Lenteur motrice (difficulté à initier les mouvements)
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Rigidité (crampes musculaires et raideurs)
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Tremblement
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Piétinement (petit pas, blocage, passage d’obstacles latéraux)
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Tardivement, cela conduit à une perte d’autonomie.
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Les AVC
L’Accident Vasculaire Cérébral (plus communément appelé attaque cérébrale)
entraine une hémiplégie. L’hémiplégie est une paralysie de la moitié du
corps. Dans un premier temps, une paralysie flasque est présente. Par la suite
(quelques jours à plusieurs semaines), une phase dite de spasticité apparait.
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Les troubles moteurs liés à l’avancée en âge
Chez les personnes âgées, nous retrouvons, entre autre, des troubles moteurs
tels que la perte de force, la rigidité et des déformations articulaires (arthrose…)
ainsi que des pertes d’équilibre (diminution du périmètre de marche…).
Comprendre la perte d’autonomie et s’adapter
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